Affichage obligatoire de l’origine des viandes

à partir du 1er mars 2022

publié le 1 avril 2022

À partir du 1er mars 2022, les établissements de restauration, que ce soit sur place ou à emporter, doivent indiquer l’origine de toutes les viandes cuisinées à leurs clients.
Parce qu’au CFA La Faculté des Métiers de l’Essonne, la pédagogie se fait “par l’exemple”, les formateurs de cuisine/restauration n’ont pas attendu le 1er mars pour sensibiliser les apprenants à cette règlementation. Au restaurant d’application Le Feu Louis de la Faculté des Métiers de l’Essonne, les devants ont été pris et cet affichage a été mis en place dès le lundi 28 février 2022.

Depuis maintenant 20 ans, pour répondre à la crise dite « de la vache folle », les restaurants, les restaurants d’entreprise et les cantines ont l’obligation d’indiquer l’origine de la viande bovine (bœuf et veau) non transformée, qu’ils utilisent dans leurs plats et préparations.
Un décret publié au Journal officiel du 27 janvier 2022 ajoute de nouvelles règles d’affichage sur l’origine des viandes servies en restauration. Les restaurateurs ont donc désormais l’obligation d’indiquer aux consommateurs l’origine des viandes qu’ils cuisinent, aussi bien les volailles, que le porc ou encore le mouton, de la même manière que cela était déjà fait pour la viande de bœuf.

Cette indication devra être mise à la disposition de chaque consommateur, de façon claire et lisible, par le moyen le plus adapté, choisi par le restaurateur. Il peut s’agir d’un affichage dans le lieu de restauration, d’une mention sur la carte ou le menu, ou tout autre support que le professionnel de la restauration juge opportun.

Cette indication devra comporter les mentions suivantes :

  • Le pays d’élevage et le pays d’abattage doivent être précisés lorsqu’ils sont différents.
  • Le lieu d’origine suffit lorsque le pays d’abattage et le pays d’élevage sont un seul et même pays.

Cette mesure s’applique à toutes les viandes achetées crues (fraîches ou surgelées), et qui sont cuisinées par les restaurateurs. Néanmoins, elle ne s’applique pas aux viandes achetées déjà préparées.

Vous pourrez donc retrouver cet affichage en venant déjeuner ou diner au restaurant d’application Le Feu Louis, sous la forme d’une ardoise installée dans la salle de restauration, visible de tous les clients.

Retrouvez toutes les informations (menus, réservations…) concernant votre venue au restaurant d’application Le Feu Louis ICI 

BON À SAVOIR

La loi relative à la transparence de l’information sur les produits agricoles et alimentaires du 10 juin 2020 rend aussi obligatoire l’indication du pays d’origine pour les produits alimentaires suivants :
le cacao
le miel et la gelée royale
le vin
la bière

 


Textes de loi et références

  • Loi n°2020-699 du 10 juin 2020 relative à la transparence de l’information sur les produits agricoles et alimentaires
  • Décret n°2022-65 du 26 janvier 2022 modifiant le décret n°2002-1465 du 17 décembre 2002 relatif à l’étiquetage des viandes bovines dans les établissements de restauration
  • Décret n°2002-1465 du 17 décembre 2002 relatif à l’étiquetage des viandes bovines, porcines, ovines et de volailles dans les établissements de restauration

Infos et contact :
Virginie FAU, Responsable de la filière des Métiers de l’artisanat
01 60 79 74 53
v.fau@fdme91.fr

Salons de Coiffure : Les défis à relever

2022

publié le 2 juin 2022

Si la situation sanitaire semble s’améliorer en France et dans le monde, les salons de coiffure, qui ont vu leur situation financière fragilisée depuis 2 ans, doivent malgré tout se réinventer pour faire face aux nouvelles tendances de consommation dans le secteur. L’une de ces tendances met en lumière l’augmentation des salons de coiffure à domicile, aidés par les plateformes qui mettent en relation les coiffeurs et leurs clients(es) séduits par un gain de temps (ou d’argent) et des déplacements limités. Enfin, cette situation est exacerbée par le faible attrait du métier vis-à-vis des jeunes qui s’explique par un faible niveau de rémunération. Alors, si l’activité devait continuer à rebondir en 2022, comme elle l’a fait en 2021 (sans retrouver son niveau d’antan), plusieurs pistes existent pour faire face à cette crise structurelle à laquelle sont confrontés, depuis plusieurs années, les salons de coiffure :

 

1. Améliorer la valeur perçue

La valeur perçue (ou le positionnement) d’un salon de coiffure détermine le prix maximum que ses clients sont disposés à payer pour un service, voire même un produit.
Améliorer la valeur perçue, et donc pratiquer une montée en gamme, à moindre coûts permettrait de faire accepter un niveau de prix à priori élevé.

Comment ?

  • Soin méticuleux apporté à l’aspect visuel intérieur et extérieur des salons indépendants
  • Mieux former ses salariés pour répondre à une demande exigeante
  • Améliorer l’accueil et la prise en charge de sa clientèle
  • Innover et répondre aux nouvelles tendances du marché
  • Proposer des services annexes, facturés ou non
Plus de la moitié des dirigeants des entreprises de coiffure ont 50 ans ou +

2. Former ses salariés

Des progrès sont constatés ces dernières années dans la formation à la gestion de l’entreprise et à la commercialisation des services et des produits, avec notamment la création d’un BTS Métiers de la Coiffure, diplôme dispensé depuis 5 ans à la Faculté des Métiers. Les diplômes traditionnels dans la coiffure (CAP, Mention Complémentaire et BP) offrent en outre une sérieuse et indispensable base technique et professionnelle.

Si les partenaires sociaux ont créé, il y a déjà quelques années, le Certificat de Qualification Professionnelle (CQP) « Manager d’un Salon de Coiffure », formation de 10 mois délivrant des connaissances approfondies dans la gestion commerciale et financière de l’entreprise, la communication et au management des équipes…, le recours au compte formation est encore trop rare dans le métier pour développer des compétences qui, pourtant, seront indispensables dans les années à venir afin d’ assurer les transmissions d’entreprises qui s’intensifieront.

3. Revaloriser le métier de coiffeur

Depuis longtemps, le métier souffre de faibles rémunérations, conséquence d’une concurrence féroce dans le secteur et donc de faibles marges, et synonyme d’un turn-over important de la main d’ouvre, empêchant alors une réelle montée en gamme des services de coiffure.
Outre la formation, qui permet aux jeunes et moins jeunes de se sentir valorisés, la rémunération est bien entendu l’outil le plus efficace pour, non seulement, attirer de jeunes talents mais surtout pour leur donner envie de rester dans le métier.
Sans parler d’augmentation des salaires de base qui aurait pour effet de diminuer les marges des salons de coiffure déjà affaiblies, le système de la rémunération variable individuelle (RVI) institué par la Convention Nationale de la Coiffure, reste le moyen le plus sûr pour améliorer la satisfaction des salariés, tout en augmentant la marge des salons de coiffure.

En d’autres termes, c’est gagnant-gagnant !

RAPPEL
Rémunération Variable =  % déterminé sur la Différence entre CA HT (réalisé sur les prestations) et objectif fixé
Objectif = (Salaire de base + heures supplémentaires si elles existent) x 3,4

 

Telles sont les solutions, parmi d’autres, afin que les coiffeurs puissent exprimer pleinement leur potentiel tout en faisant face aux difficultés annoncées des années à venir.


Sources : Pour que la coiffure sorte de la crise et exprime son potentiel économique et social (Asterès 2013);  Rapport de branche UNEC 2019 et 2020 par Xerfi; images : AdobeStock © artinspiring – phpetrunina14 – alvaro / iconfinder

Infos et contact :
Virginie FAU, Responsable de la filière des Métiers de l’artisanat
01 60 79 74 53
v.fau@fdme91.fr

STREAM : Pourquoi l’alternance à la FDME ? 2ème édition

6 avril - 14h à 15h

publié le 21 mars 2022

  • Vous avez manqué la dernière Journée Portes Ouvertes ?
  • Vous souhaitez rapidement en savoir plus sur l’alternance et la FDME avant de préciser votre orientation pour la rentrée de septembre ?
  • Vous aimeriez discuter avec des jeunes en toute décontraction pour mieux comprendre comment fonctionne l’apprentissage et ce que peux offrir le CFA ?

Alors le STREAM du 6 avril est fait pour vous ! 

Un STREAM avec des jeunes, pour les jeunes :

Depuis les bureaux de la FDME, des apprentis ouvrent leur écran jusque chez vous pour 1 heure (ou plus) dédiée au partage d’expérience et au dialogue.

  • Présentation générale de la FDME
  • Vidéos d’immersion pour découvrir les 3 sites de formation (Bondoufle – Évry –Massy)
  • L’offre de formation
  • La formation en alternance / le contrat d’apprentissage
  • La procédure d’inscription

Merci aux internautes qui se sont connectés.

 

 

La FDME se mobilise pour venir en aide au peuple ukrainien

De mars à juin 2022

publié le 8 juillet 2022

Parce que la solidarité est une valeur fondamentale, nous nous sommes mobilisés pour venir en aide au peuple ukrainien.

Après avoir envisagé une collecte dans nos locaux, nous avons réalisé que les difficultés d’acheminement des produits pourraient être un frein et avons décidé de rassembler une cagnotte en faveur de la Croix Rouge Française.

Ainsi de mars à juin collaborateurs, apprentis et partenaires étaient invités à participer à cet élan de solidarité.

Et pour encourager la générosité de tous, la FDME montre l’exemple en versant 1500 € pour l’ouverture de la cagnotte

Au final ce sont 41 contributeurs qui ont participé.
Permettant de recueillir 4 315 Euros de dons !

Cette somme a été remise en main propre le 8 juillet dernier aux représentants de la Croix Rouge Française : Marie-Laure ARNAUD, Vice-présidente de la délégation territoriale de l’Essonne et Jean-Marc BONNETON, référent territorial Essonne du Droit International Humanitaire.

Ces derniers ont assuré que cet argent représentait une aide supplémentaire dans leurs actions qui serait utilisé à bon escient en faveur du peuple ukrainien. Ils n’ont pas manqué de remercier les équipes présentes à l’occasion de la réunion de fin d’année de formation.

Merci à chacun pour votre mobilisation !

Des jeunes de la MIVE boostés par la FDME

16 mars 2022

publié le 18 mars 2022

La Faculté des Métiers de l’Essonne entretient des liens étroits avec les Missions locales du territoire, notamment la MIVE de Corbeil-Essonnes (Mission Intercommunale vers l’Emploi). C’est donc tout naturellement que ces derniers nous ont confié la tâche de travailler l’orientation de jeunes qu’ils accompagnent.

Depuis décembre 2021, l’équipe du Service d’Accès à l’Alternance (SAA) accueille le groupe d’une dizaine de jeunes sur un parcours dédié de 10 semaines :

  • Ateliers pratiques (posture, communication, Techniques de Recherche entreprise, …)
  • Enquête métiers
  • Stage en entreprise

Le 16 mars est une étape clef de fin de ce parcours, car chacun doit se présenter et évoquer son projet professionnel devants les instances représentatives de la FDME et de la MIVE, notamment Hervé GARSI, Directeur de la formation FDME et Djamal CHERAD, Directeur de la MIVE. L’équipe pédagogique du SAA est également présente pour les soutenir dans cet exercice difficile. Mourad CHERGUI en rappelle le contexte en spécifiant la richesse du travail fourni par les jeunes. Isabelle DUCAUZE ajoute : « ils ont beaucoup de mérite car ils ont dû faire face à de nombreux freins en raison du COVID ».

Puis sous l’œil avisé et bienveillant de Tanguy CAZAUX, leur coach en expression orale, c’est Lara 18 ans qui pend la parole et nous parle de son souhait de devenir esthéticienne. Son rêve : voyager en Corée du Sud pour y apprendre les techniques asiatiques et les faire découvrir en France voire au Portugal, son pays natal.

La prestation n’est pas facile, sans support ni carton de notes. Il faut à la fois évoquer un travail factuel (missions réalisées, diplômes, …), mais aussi se dévoiler (qualités, ambitions, projets de vie) et donner un avis sur son vécu personnel. C’est ce qui fait la force de leur discours car on se rend compte que tous ont tiré profit de cette expérience. Fletcher se félicite « d’avoir pu s’ouvrir et combattre ma timidité ». Quant à Ilyes, il a « appris à être attentif, patient et à l’écoute ».

On ne s’ennuie pas dans cette succession de profils car chacun a des choses différentes à dire et les projets sont diversifiés : vente, gestion, éducateur sportif, esthétique, énergétique, automobile, … Après un temps d’échange Questions/réponses, la réaction de l’auditoire est unanime :
UN GRAND BRAVO à Lara, Alexandre, Nicolas, Fletcher, Ilyes et Augustin !

« Je suis fier de vous tous ! » lance avec émotion Djamal CHERAD qui connait très bien certains d’entre eux et mesure l’étendue du chemin parcouru. Il leur assure la poursuite de l’accompagnement à la MIVE par la réalisation de leur CV vidéo et du parrainage. Hervé GARSI félicite leur « belle éloquence, que même certains apprentis déjà sous contrat chez nous n’ont pas encore atteint ».

Cette étape n’est pas une finalité, elle ne représente que le début du chemin. En effet, le SAA va les recevoir en entretien individuel dans les prochains jours et les mobiliser pour rester dans l’action : accompagnement pour la signature d’un contrat en alternance, l’inscription en formation continue ou l’intégration dans le PIC apprentissage.

Bonne continuation à tous ces jeunes dans la réalisation de leurs projets.

 

Création d’un véhicule pédagogiquepour l’École Départementale d’Incendie et de Secours de l’Essonne de Fleury-Mérogis (SDIS 91)

Une équipe pluridisciplinaire à l’œuvre pour relever le défi

Fin 2021, les équipes du SDIS 91 –  Service Départemental d’Incendie et de Secours – de l’Essonne se sont rapprochées de celles de la filière automobile de la Faculté Des Métiers de l’Essonne (FDME) pour leur faire part d’une commande spéciale :

Transformer un Renault Espace 5 en un outil d’observation et d’acquisition de savoirs techniques nécessaire aux exercices de désincarcération.

 

Le cahier des charges en précise les modalités techniques :

  • Rendre apparents les différents éléments de structure en faisant ressortir certaines zones à haute résistance.
  • Rendre apparents les éléments de sécurité secondaire (airbag, cartouches pyrotechniques, calculateur, prétensionneur de ceinture …) pouvant impacter une opération de désincarcération.

Comme tous les ans la filière auto FDME se mobilise sur la Semaine des Services de l’Automobile et de la Mobilité organisée par l’ANFA. Elle a donc profité de l’occasion pour fédérer une équipe pluridisciplinaire autour de ce projet. Ainsi, en seulement une semaine – du 29 janvier au 5 février – des formateurs et apprentis en mécanique, carrosserie ou peinture ont travaillé d’arrache-pied afin de livrer le véhicule attendu pour les pompiers.

Le résultat final est livré dans le temps imparti et facilement observable avec des parties en couleur dévoilant les éléments de renfort de la structure : le jaune pour les zones d’absorption de choc frontal et le rouge pour la protection des occupants dans l’habitacle en cas de retournement.

Les équipes ont voulu offrir encore plus à nos sauveurs de vie en ajoutant :

  • un simulateur d’Airbag pneumatique pour mieux se rendre compte du volume que peut prendre un Airbag une fois déclenché
  • une vidéo retranscrivant la rapidité d’exécution de ce système a été intégrée dans l’écran du tableau de bord.

Une cérémonie de remise des clefs en grande pompe

Le 5 février 2022, pendant la Journée Portes Ouvertes de la FDME s’est tenue la Cérémonie de remise des clefs de la voiture pédagogique des pompiers aux représentants du SDIS : Guy CROSNIER, Président du conseil d’administration et Patrick VAILLI, colonel hors classe, directeur départemental. En présence de nombreux élus du territoire tels que Nicolas LEFÈVRE, Sous-préfet à la relance, Medhy ZEGHOUF, Vice-président de la CAGPS et adjoint au Maire d’Évry-Courcouronnes en charge de la culture et du patrimoine de l’enseignement et de la recherche, Patrick RAKOTOSON, président CCIE, sans oublier Jean-Claude CROZON, président du Rotary Club Évry-Corbeil.

Cyrille PRÉVOST, coordinateur de la filière automobile FDME, présente les différentes actions réalisées pour mener à bien le projet.

Guy CROSNIER a le sourire, lorsqu’il reçoit des mains de Fabien DAURAT, Président de la FDME les clefs du nouveau véhicule pédagogique qui va au-delà même de leurs attentes. Il se félicite d’avoir fait appel pour ce projet à la « Faculté des Métiers de l’Essonne, établissement de référence dont la réputation n’est plus à faire ». Il rappelle l’importance de former les pompiers aux secours routiers, et plus particulièrement à l’extraction des personnes dans un contexte où les accidents de sortie de route sont de plus en plus nombreux. De plus, si les constructeurs fabriquent des véhicules plus résistants pour renforcer la sécurité, il est important d’en connaître les caractéristiques. « Ce véhicule pédagogique créé sur la base d’une voiture moderne, nous permettra d’adapter nos techniques aux nouvelles contraintes afin d’améliorer notre temps d’intervention ». Fabien DAURAT conclut en remerciant les apprentis et les formateurs pour « cette belle réalisation ».

Après les échanges formels, les équipes du SDIS ont pris plaisir à discuter avec les apprentis présents qui avaient des étoiles dans les yeux en évoquant leur participation à ce projet. Ils ne sont pas peu fiers du résultat et nous ne pouvons que les féliciter pour leur travail.

Un partenariat qui va plus loin

Au-delà de la convention signée pour la commande d’une prestation sur véhicule à titre gracieux, c’est un réel échange humain qui s’est engagé entre les protagonistes des deux entités.

En effet, si les apprentis ont pu développer le sens du travail en équipe et acquérir de nouvelles techniques, ils ont aussi bénéficié de l’apport pédagogique du discours tenu par les pompiers au cours de leurs visites de suivi. Cela a éveillé pour les jeunes une vraie prise de conscience autour de la sécurité routière.

À peine livrée, la voiture pédagogique conçue par la FDME est déjà utilisée. Le SDIS est tellement satisfait du travail des apprentis qu’ils souhaitent à leur tour leur montrer comment ils travaillent. C’est pourquoi leurs équipes sont revenues aux Portes Ouvertes FDME du 12 mars pour offrir une démonstration d’exercice de désincarcération.

L’équipe pluridisciplinaire FDME ayant participé au projet

Cyrille PREVOST, coordonnateur technique
Sylvain GARREAU Formateur Mécanique et Daniel MELO Formateur Carrosserie/Peinture
Apprentis en terminale BAC Pro Mécanique : Kevin, Abderrahmane, Alexis, Alexandre RB et Lucas
Apprentis en terminale BAC Pro Carrosserie/Peinture : Wassim, Alexandre G et Ugo


Infos et contact :
Stéfan MERCIER, Responsable de la filière Automobile
01 60 79 93 36
s.mercier@fdme91.fr