Recruteur d’apprentis en Cabinet d’Expert Comptable : L’expérience FIDEXO

publié le 20 mai 2022

INTERVIEW DE

Portarit Mme Abecassis
Katia ABECASSIS,
Directrice de FIDEXO – Cabinet d’Expertise Comptable


PAR

Portrait M Duloisy
Pascal DULOISY,
responsable du site de Massy FDME


P. DULOISY : Bonjour Madame ABECCASIS, pourriez-vous nous évoquer brièvement la genèse de votre entreprise ?

K. ABECASSIS : L’entreprise est née en 1991 à Juvisy-sur-Orge sous le nom de DOM FOX et j’avais à l’époque à mes côtés 1 salarié et 1 contrat de qualification. C’est en 1997 que le nom FIDEXO voit le jour. Depuis, nous avons développé l’activité. Désormais, 8 collaborateurs en contrat pérenne travaillent à mes côtés auxquels se joignent les apprentis. Aujourd’hui, 2 autres entités compètent FIDEXO : DOM FOX et IDEE RH. Ce qui nous permet de couvrir quasiment l’ensemble des métiers liés à la Comptabilité, la paie et les RH.

P. DULOISY : Alors, justement, pourquoi l’apprentissage vous a-t-il convaincu dans votre secteur d’activités ?

photo Oriane
Oriane D., apprentie en BTS Comptabilité Gestion chez Fidexo

K. ABECASSIS : Il est difficile de recruter du personnel compétent et opérationnel dans les métiers de la comptabilité. Par conséquent, la meilleure façon de procéder est de former soi-même son personnel en lien avec l’organisme de formation qu’est la Faculté des Métiers de l’Essonne. Chaque année, je recrute 1 ou 2 alternants qui prépare soit un BTS Comptabilité-Gestion soit un Bac+2 Gestionnaire de Paie. Les jeunes acquièrent toute la partie théorique au sein du centre de formation et toute la partie pratique au sein de mon entreprise. Cette Co-construction est généralement efficace et permet aux alternants de progresser et d’acquérir compétences et maturité rapidement.

P. DULOISY : J’en déduis que vous avez déjà recruté en contrat pérenne des apprentis que vous avez formés ?

K. ABECASSIS : Tout à fait, la majorité de mes collaborateurs sont des anciens apprentis. La plus ancienne a été formée en 2002. Pour moi, la finalité de l’apprentissage est le recrutement en CDI de collaborateurs formés, motivés, rigoureux et adhérents à l’esprit de l’entreprise. Nous sommes sur un secteur d’activités en croissance régulière. Il y a donc des opportunités d’emplois pour les jeunes qui veulent travailler et réussir.

P.DULOISY : En quelques mots, comment envisagez-vous l’avenir des métiers de la comptabilité ? Quelle sera leur évolution avec notamment la place du numérique ?

K. ABECASSIS : Il y aura de moins en moins de travail de saisi comptable puisque désormais, la facturation électronique se généralise. Les métiers vont évoluer vers de plus en plus de conseil aux entreprises et de l’accompagnement notamment auprès des TPE et des autoentrepreneurs.

P. DULOISY : Quels conseils donneriez-vous à un jeune qui envisage une orientation dans les métiers de la comptabilité ?

K. ABECASSIS : Si vous êtes curieux avec un esprit vif et rigoureux, si vous avez un côté « enquêteur » pour œuvrer dans l’environnement des chiffres, si vous avez une appétence pour apporter les conseils opportuns et pertinents aux entreprises en matière de comptabilité, vous aurez de quoi vous épanouir dans nos métiers. Avant de vous engager, je vous conseillerai d’effectuer un stage dans un cabinet comptable pour observer et appréhender cet environnement, « sentir » les métiers proposés afin de voir si cela vous correspond vraiment.

P. DULOISY : En tant qu’employeur, êtes-vous satisfaite des relations entre votre entreprise et la Faculté des Métiers de l’Essonne ?

K. ABECASSIS : Nous collaborons depuis des années, ce qui signifie que j’y trouve mon compte. A partir des Cvs que vous me transmettez après que vous avez préalablement recruté les candidats, je procède à la sélection de celles et ceux que je vais recevoir. Le choix effectué, et si tout se passe convenablement à l’issue de la période d’essai, la formation se déroule sur l’année ou les deux ans en fonction du diplôme avec le lien pédagogique assuré par les Formateurs Référents des Sections. En cas de difficultés avec un apprenti, je sais que je peux compter sur la Faculté des Métiers de l’Essonne pour trouver une solution.

P. DULOISY : Je vous remercie Madame ABECASSIS pour cet échange et les éléments de réflexion apportés qui pourront peut-être donner envie à vos homologues d’envisager des parcours en alternance pour recruter leurs futurs collaborateurs.


Infos et contact :
Pascal DULOISY, Responsable des filières Commerce, Compta-Gestion, Informatique et Immobilier
Site de Massy
01 69 19 46 15
p.duloisy@fdme91.fr

Une boutique du futur à la FDME ?

à venir

publié le 3 juin 2022

Le digital s’est développé à la vitesse de la lumière et aujourd’hui, il a même intégré notre quotidien. Présent dans les structures, les enseignes ainsi que les procédures de travail, il concerne également une partie importante des missions réalisées en entreprise par vos apprenants. C’est pour cette raison que la Faculté des Métiers continue sur sa lancée en matière d’innovation en vous présentant aujourd’hui son projet de rénovation et de digitalisation de ses superettes pédagogiques.

De précieux outils pédagogiques à la FDME.

Boutique actuelle
Épicerie fine

Saviez-vous que sur le campus d’Évry, deux salles de classes sont, depuis plusieurs années, réservées à l’animation de deux superettes pédagogique ? L’une est alimentaire, dans le but de sensibiliser nos apprentis sur la gestion de stocks, les dates et l’anti-gaspillage tandis que l’autre est entièrement consacrée au textile pour travailler davantage les actions promotionnelles et le merchandising. Pour le moment, les superettes ne sont pas optimums pédagogiquement puisque leurs utilisations sont entièrement manuelles et sans supports digitaux. Heureusement, la FDME travaille sur une rénovation qui les transformera en une seule et même boutique proposant un concept multi-espace moderne et intelligemment technologique.

Vers une boutique intelligente.

Adieu aux vieux linéaires de magasin, ainsi qu’aux produits abimés par le temps, et bonjour à notre thème principal : L’épicerie fine. Les produits manipulés par nos étudiants seront issus de dons venant de structure comme les vôtres avant d’être reconditionnés pour créer une gamme « made in FDME ».
C’est en partie grâce à vous et votre générosité que ce merveilleux projet est sur le point de voir le jour.


Entre café, vin, terrine ou encore coffret cadeaux, les apprentis de notre CFA disposeront d’un enseignement de haute qualité ayant pour but de les former à des métiers d’avenir et de complémenter l’expérience de votre savoir-faire, si précieux à nos yeux. Un espace cave à vin leur permettra de travailler avec de nobles produits, d’étudier l’aspect technique de l’univers du luxe alimentaire, et d’apprendre à adapter leurs argumentaires de vente selon les situations. Entièrement remises à neuf, avec un univers épuré, ils auront la chance d’évoluer dans un espace compatible avec leurs programmes pédagogiques, pensés et crées en ce sens.

Ces espaces seront équipés d’un écran de promotion et d’étiquettes électroniques afin de leur apprendre à formater des équipements ainsi que de laisser libre cours à leur créativité grâce aux options de promotion et d’animation de vente.
Les gestions financières et de stocks seront possibles grâce à une caisse enregistreuse dernier cri, tactile et rattachée à un logiciel de gestion intuitif.
Afin de maîtriser la gestion des stocks, nous avons même pensé à un espace de stockage.

Toutes ces technologies vont permettre de former au mieux vos apprentis tant sur l’aspect enseignement que professionnel.

Mais la vraie innovation de ce projet se trouve dans son espace cocooning. Finit les étalages et les vêtements physique. Désormais, notre stock textile sera entièrement dématérialisé. Oh !  S’il y aura effectivement un site internet pour pousser l’enseignement de nos étudiants sur des aspects particuliers tels que le « click and collect », notre boutique physique sera tout de même apte à les faire travailler le merchandising et l’optimisation de la surface de vente.
Comment ? Grâce à un miroir digital et interactif.
Cet outil sera d’ailleurs la pièce maitresse de notre projet. Un petit bijou de technologie représentant une opportunité technique inégalée dans un CFA pour tous les apprentis de France. À la pointe de ce qui se fait de mieux dans notre environnement, ce miroir multi-usages va leur permettre de travailler de nombreuses facettes de leurs métiers. Ce miroir évoluera dans un espace restreint, accompagné de fauteuils et d’une table basse définissant et améliorant l’idée du showroom qui est en vogue aujourd’hui. Si dans un premier temps cette boutique sera uniquement pédagogique, les améliorations structurelles que nous travaillons permettrons dans un avenir proche de donner vie aux créations de nos apprentis des métiers du goût.

L’opportunité pédagogique avant tout. Une mission sacrée de la FDME.

Si les équipes de la Faculté des Métiers ont créé et organisé ce projet, il est important de souligner que les apprentis du secteur tertiaire, plus précisément les BAC MCV, les BTS MCO et NDRC travailleront sur l’implantation et la création du site internet. En plus de mettre leur pierre à l’édifice, nos étudiants auront l’opportunité d’apprendre sur une situation concrète et d’être confrontés à une vraie problématique. Des concours sont également en cours de réflexion pour la sélection du nom et du logo de cette superette afin de pouvoir définitivement lui donner vie et ainsi les impliquer au projet.

Nous pourrions vous écrire un livre complet sur cette boutique ou bien passer des heures à vous en parler.
Seulement, le concret vaut bien plus que la théorie, n’est-ce pas ? Après tout, il s’agit de la définition même de l’apprentissage et d’une des valeurs les plus importante de notre école. C’est pourquoi la FDME à hâte de vous faire découvrir toutes les facettes de ce projet. Restez attentif… Cela ne saurait tarder.


Infos et contact :
Hervé GARSI, Responsable de la filière Tertiaire du site d’Évry
01 60 79 75 64
h.garsi@fdme91.fr

Affichage obligatoire de l’origine des viandes

à partir du 1er mars 2022

publié le 1 avril 2022

À partir du 1er mars 2022, les établissements de restauration, que ce soit sur place ou à emporter, doivent indiquer l’origine de toutes les viandes cuisinées à leurs clients.
Parce qu’au CFA La Faculté des Métiers de l’Essonne, la pédagogie se fait “par l’exemple”, les formateurs de cuisine/restauration n’ont pas attendu le 1er mars pour sensibiliser les apprenants à cette règlementation. Au restaurant d’application Le Feu Louis de la Faculté des Métiers de l’Essonne, les devants ont été pris et cet affichage a été mis en place dès le lundi 28 février 2022.

Depuis maintenant 20 ans, pour répondre à la crise dite « de la vache folle », les restaurants, les restaurants d’entreprise et les cantines ont l’obligation d’indiquer l’origine de la viande bovine (bœuf et veau) non transformée, qu’ils utilisent dans leurs plats et préparations.
Un décret publié au Journal officiel du 27 janvier 2022 ajoute de nouvelles règles d’affichage sur l’origine des viandes servies en restauration. Les restaurateurs ont donc désormais l’obligation d’indiquer aux consommateurs l’origine des viandes qu’ils cuisinent, aussi bien les volailles, que le porc ou encore le mouton, de la même manière que cela était déjà fait pour la viande de bœuf.

Cette indication devra être mise à la disposition de chaque consommateur, de façon claire et lisible, par le moyen le plus adapté, choisi par le restaurateur. Il peut s’agir d’un affichage dans le lieu de restauration, d’une mention sur la carte ou le menu, ou tout autre support que le professionnel de la restauration juge opportun.

Cette indication devra comporter les mentions suivantes :

  • Le pays d’élevage et le pays d’abattage doivent être précisés lorsqu’ils sont différents.
  • Le lieu d’origine suffit lorsque le pays d’abattage et le pays d’élevage sont un seul et même pays.

Cette mesure s’applique à toutes les viandes achetées crues (fraîches ou surgelées), et qui sont cuisinées par les restaurateurs. Néanmoins, elle ne s’applique pas aux viandes achetées déjà préparées.

Vous pourrez donc retrouver cet affichage en venant déjeuner ou diner au restaurant d’application Le Feu Louis, sous la forme d’une ardoise installée dans la salle de restauration, visible de tous les clients.

Retrouvez toutes les informations (menus, réservations…) concernant votre venue au restaurant d’application Le Feu Louis ICI 

BON À SAVOIR

La loi relative à la transparence de l’information sur les produits agricoles et alimentaires du 10 juin 2020 rend aussi obligatoire l’indication du pays d’origine pour les produits alimentaires suivants :
le cacao
le miel et la gelée royale
le vin
la bière

 


Textes de loi et références

  • Loi n°2020-699 du 10 juin 2020 relative à la transparence de l’information sur les produits agricoles et alimentaires
  • Décret n°2022-65 du 26 janvier 2022 modifiant le décret n°2002-1465 du 17 décembre 2002 relatif à l’étiquetage des viandes bovines dans les établissements de restauration
  • Décret n°2002-1465 du 17 décembre 2002 relatif à l’étiquetage des viandes bovines, porcines, ovines et de volailles dans les établissements de restauration

Infos et contact :
Virginie FAU, Responsable de la filière des Métiers de l’artisanat
01 60 79 74 53
v.fau@fdme91.fr

Salons de Coiffure : Les défis à relever

2022

publié le 2 juin 2022

Si la situation sanitaire semble s’améliorer en France et dans le monde, les salons de coiffure, qui ont vu leur situation financière fragilisée depuis 2 ans, doivent malgré tout se réinventer pour faire face aux nouvelles tendances de consommation dans le secteur. L’une de ces tendances met en lumière l’augmentation des salons de coiffure à domicile, aidés par les plateformes qui mettent en relation les coiffeurs et leurs clients(es) séduits par un gain de temps (ou d’argent) et des déplacements limités. Enfin, cette situation est exacerbée par le faible attrait du métier vis-à-vis des jeunes qui s’explique par un faible niveau de rémunération. Alors, si l’activité devait continuer à rebondir en 2022, comme elle l’a fait en 2021 (sans retrouver son niveau d’antan), plusieurs pistes existent pour faire face à cette crise structurelle à laquelle sont confrontés, depuis plusieurs années, les salons de coiffure :

 

1. Améliorer la valeur perçue

La valeur perçue (ou le positionnement) d’un salon de coiffure détermine le prix maximum que ses clients sont disposés à payer pour un service, voire même un produit.
Améliorer la valeur perçue, et donc pratiquer une montée en gamme, à moindre coûts permettrait de faire accepter un niveau de prix à priori élevé.

Comment ?

  • Soin méticuleux apporté à l’aspect visuel intérieur et extérieur des salons indépendants
  • Mieux former ses salariés pour répondre à une demande exigeante
  • Améliorer l’accueil et la prise en charge de sa clientèle
  • Innover et répondre aux nouvelles tendances du marché
  • Proposer des services annexes, facturés ou non
Plus de la moitié des dirigeants des entreprises de coiffure ont 50 ans ou +

2. Former ses salariés

Des progrès sont constatés ces dernières années dans la formation à la gestion de l’entreprise et à la commercialisation des services et des produits, avec notamment la création d’un BTS Métiers de la Coiffure, diplôme dispensé depuis 5 ans à la Faculté des Métiers. Les diplômes traditionnels dans la coiffure (CAP, Mention Complémentaire et BP) offrent en outre une sérieuse et indispensable base technique et professionnelle.

Si les partenaires sociaux ont créé, il y a déjà quelques années, le Certificat de Qualification Professionnelle (CQP) « Manager d’un Salon de Coiffure », formation de 10 mois délivrant des connaissances approfondies dans la gestion commerciale et financière de l’entreprise, la communication et au management des équipes…, le recours au compte formation est encore trop rare dans le métier pour développer des compétences qui, pourtant, seront indispensables dans les années à venir afin d’ assurer les transmissions d’entreprises qui s’intensifieront.

3. Revaloriser le métier de coiffeur

Depuis longtemps, le métier souffre de faibles rémunérations, conséquence d’une concurrence féroce dans le secteur et donc de faibles marges, et synonyme d’un turn-over important de la main d’ouvre, empêchant alors une réelle montée en gamme des services de coiffure.
Outre la formation, qui permet aux jeunes et moins jeunes de se sentir valorisés, la rémunération est bien entendu l’outil le plus efficace pour, non seulement, attirer de jeunes talents mais surtout pour leur donner envie de rester dans le métier.
Sans parler d’augmentation des salaires de base qui aurait pour effet de diminuer les marges des salons de coiffure déjà affaiblies, le système de la rémunération variable individuelle (RVI) institué par la Convention Nationale de la Coiffure, reste le moyen le plus sûr pour améliorer la satisfaction des salariés, tout en augmentant la marge des salons de coiffure.

En d’autres termes, c’est gagnant-gagnant !

RAPPEL
Rémunération Variable =  % déterminé sur la Différence entre CA HT (réalisé sur les prestations) et objectif fixé
Objectif = (Salaire de base + heures supplémentaires si elles existent) x 3,4

 

Telles sont les solutions, parmi d’autres, afin que les coiffeurs puissent exprimer pleinement leur potentiel tout en faisant face aux difficultés annoncées des années à venir.


Sources : Pour que la coiffure sorte de la crise et exprime son potentiel économique et social (Asterès 2013);  Rapport de branche UNEC 2019 et 2020 par Xerfi; images : AdobeStock © artinspiring – phpetrunina14 – alvaro / iconfinder

Infos et contact :
Virginie FAU, Responsable de la filière des Métiers de l’artisanat
01 60 79 74 53
v.fau@fdme91.fr

STREAM : Pourquoi l’alternance à la FDME ? 2ème édition

6 avril - 14h à 15h

publié le 21 mars 2022

  • Vous avez manqué la dernière Journée Portes Ouvertes ?
  • Vous souhaitez rapidement en savoir plus sur l’alternance et la FDME avant de préciser votre orientation pour la rentrée de septembre ?
  • Vous aimeriez discuter avec des jeunes en toute décontraction pour mieux comprendre comment fonctionne l’apprentissage et ce que peux offrir le CFA ?

Alors le STREAM du 6 avril est fait pour vous ! 

Un STREAM avec des jeunes, pour les jeunes :

Depuis les bureaux de la FDME, des apprentis ouvrent leur écran jusque chez vous pour 1 heure (ou plus) dédiée au partage d’expérience et au dialogue.

  • Présentation générale de la FDME
  • Vidéos d’immersion pour découvrir les 3 sites de formation (Bondoufle – Évry –Massy)
  • L’offre de formation
  • La formation en alternance / le contrat d’apprentissage
  • La procédure d’inscription

Merci aux internautes qui se sont connectés.

 

 

La FDME se mobilise pour venir en aide au peuple ukrainien

De mars à juin 2022

publié le 8 juillet 2022

Parce que la solidarité est une valeur fondamentale, nous nous sommes mobilisés pour venir en aide au peuple ukrainien.

Après avoir envisagé une collecte dans nos locaux, nous avons réalisé que les difficultés d’acheminement des produits pourraient être un frein et avons décidé de rassembler une cagnotte en faveur de la Croix Rouge Française.

Ainsi de mars à juin collaborateurs, apprentis et partenaires étaient invités à participer à cet élan de solidarité.

Et pour encourager la générosité de tous, la FDME montre l’exemple en versant 1500 € pour l’ouverture de la cagnotte

Au final ce sont 41 contributeurs qui ont participé.
Permettant de recueillir 4 315 Euros de dons !

Cette somme a été remise en main propre le 8 juillet dernier aux représentants de la Croix Rouge Française : Marie-Laure ARNAUD, Vice-présidente de la délégation territoriale de l’Essonne et Jean-Marc BONNETON, référent territorial Essonne du Droit International Humanitaire.

Ces derniers ont assuré que cet argent représentait une aide supplémentaire dans leurs actions qui serait utilisé à bon escient en faveur du peuple ukrainien. Ils n’ont pas manqué de remercier les équipes présentes à l’occasion de la réunion de fin d’année de formation.

Merci à chacun pour votre mobilisation !